BIO
Artiste multidisciplinaire basée à Montréal, Andrée-Anne Mercier est diplômée du Baccalauréat en arts visuels et médiatiques de l’UQÀM et du D.E.S.S. en arts, création et technologies de l’Université de Montréal. Par la suite, elle a entrepris deux résidences d’artiste au Japon; Studio Kura et AIRY. Dans la dernière année, elle a présenté son travail à la Foire Papier, la Foire Art Toronto et à la Foire en Art Actuel de Québec. L'artiste est représentée par la galerie Robertson-Arès. |
DÉMARCHE
Andrée-Anne Mercier explore et interroge notre quotidien d’où elle extrait des images de la culture populaire à différentes époques. Ses œuvres abordent aussi les thèmes de la mémoire et de la nostalgie. Ces deux thèmes sont intimement liés et fondamentaux pour chaque individu. Évoquer un souvenir, quel qu’il soit, chez le spectateur est central dans l’intention de l’artiste. Elle crée des ambiances qui magnifient les souvenirs individuels et collectifs. Ils sont sélectionnés par la qualité de leur état, qu’il soit positif ou négatif ; souvenir d’un lieu, principalement, mais aussi d’une phrase, d’une ambiance ou d’une personne.
En observant son quotidien anecdotique, elle crée des projets ludiques qui se présentent sous forme de tableaux, d’installations, d’animations 2D et de jeux vidéos. En reprenant des objets du quotidien, l’artiste analyse et réutilise ces éléments pour réaliser des projets picturaux et accessibles. Les médiums de création choisis s’interrogent par leur paradoxe ; beaux-arts et arts numériques relançant un dialogue actuel à l’ère des technologies.
Teintées par la culture populaire nippone et rétro, les œuvres d’Andrée-Anne Mercier traitent subtilement de la culture de masse à travers les différentes décennies et de la nostalgie que celle-ci peut évoquer. Cette culture de masse tend au divertissement ; elle supporte des référents culturels facilement consommables par la société avec l’aide des réseaux sociaux. Tel est le cas pour son utilisation du pixel art au sein de ses jeux vidéos et animations ; ce sont des éléments très bien implantés dans notre société. L’intérêt pour la culture nippone va aussi dans cette même lignée ; la culture de masse a été façonnée, en grande partie, par la popularité grandissante de la production culturelle et de l’esthétique japonaise. La recherche de souvenirs, ainsi que les comparaisons entre les différentes époques rétro permettent d’expérimenter différentes techniques à des fins picturales.
La production actuelle de l’artiste se concentre sur le cadrage d’architectures japonaises et hawaiiennes, ainsi que le processus de création des oeuvres ; il passe de la photographie, à un procédé de découpage numérique et finalement à la peinture. Il se manifeste en tableaux et en formes disposés dans l’espace. Les associations hybrides et ludiques entre les différentes thématiques et visuels qui peuplent les œuvres de l’artiste offrent un espace de dialogue accessible entre la mémoire et la nostalgie.
Andrée-Anne Mercier explore et interroge notre quotidien d’où elle extrait des images de la culture populaire à différentes époques. Ses œuvres abordent aussi les thèmes de la mémoire et de la nostalgie. Ces deux thèmes sont intimement liés et fondamentaux pour chaque individu. Évoquer un souvenir, quel qu’il soit, chez le spectateur est central dans l’intention de l’artiste. Elle crée des ambiances qui magnifient les souvenirs individuels et collectifs. Ils sont sélectionnés par la qualité de leur état, qu’il soit positif ou négatif ; souvenir d’un lieu, principalement, mais aussi d’une phrase, d’une ambiance ou d’une personne.
En observant son quotidien anecdotique, elle crée des projets ludiques qui se présentent sous forme de tableaux, d’installations, d’animations 2D et de jeux vidéos. En reprenant des objets du quotidien, l’artiste analyse et réutilise ces éléments pour réaliser des projets picturaux et accessibles. Les médiums de création choisis s’interrogent par leur paradoxe ; beaux-arts et arts numériques relançant un dialogue actuel à l’ère des technologies.
Teintées par la culture populaire nippone et rétro, les œuvres d’Andrée-Anne Mercier traitent subtilement de la culture de masse à travers les différentes décennies et de la nostalgie que celle-ci peut évoquer. Cette culture de masse tend au divertissement ; elle supporte des référents culturels facilement consommables par la société avec l’aide des réseaux sociaux. Tel est le cas pour son utilisation du pixel art au sein de ses jeux vidéos et animations ; ce sont des éléments très bien implantés dans notre société. L’intérêt pour la culture nippone va aussi dans cette même lignée ; la culture de masse a été façonnée, en grande partie, par la popularité grandissante de la production culturelle et de l’esthétique japonaise. La recherche de souvenirs, ainsi que les comparaisons entre les différentes époques rétro permettent d’expérimenter différentes techniques à des fins picturales.
La production actuelle de l’artiste se concentre sur le cadrage d’architectures japonaises et hawaiiennes, ainsi que le processus de création des oeuvres ; il passe de la photographie, à un procédé de découpage numérique et finalement à la peinture. Il se manifeste en tableaux et en formes disposés dans l’espace. Les associations hybrides et ludiques entre les différentes thématiques et visuels qui peuplent les œuvres de l’artiste offrent un espace de dialogue accessible entre la mémoire et la nostalgie.